Je suis moi, certes, dans tout mes états, mais je suis moi. Et cela n'a rien changer. Cela ne changera jamais. C'est d'ailleurs la seule chose qu'on ne puisse pas changr dans la vie, soi. Nous sommes nés comme ça, avec nos mains, nos jambes, nos doigts, notre ventre, nos nez. Et cela ne changera jamais. La façon que j'ai de parler, c'est moi, ma façond 'être c'est moi. Quand je me reveille le matin , c'est moi. Dt cela n'a jamasi été autrement et ne le sera jamais. Ma famillee est tout ce que j'ai et cela restera constant jusqu'à ma mort. Pourquoi douter ? il n'y a pas lieu d'être... :)

arrêtes de trouver une suite logique à des choses qui n'ont aucune logique les unes par rapport aux autres

Je n'ai pas à me torturer l'esprit pour savoir quel avenir me sera attribué. J'ai eu tellement de courage et de bravoure cette année qu'elle pauyera forcément l'année prochaine. Cette année est finie, je l'écris et je le réalise maintenant, c'est terminé. point. Tout ce que j'ai fais, va me servir, et tout ce que j'ai fais va me porter vers la réussite et c'est en cela que mon année est une réussite. Ne pas être passée n'est pas un échec. Au contraire. 

je n'ai pas a être angoissée pour mon avenir, car j'ai déjà tracer les lignes de la réussite. 

Et toute cette pression... a quoi sert-elle? vraiment? à rien. 

La pression doit venir de moi même. Pour mes objectifs. Pas pour les autres.

Pour le deuxième semestre ça ne suffisais plus. Mais j'ai vaincu cette insuffisance. 

Maintenant je suis libre, libre de réussir pour moi même. Rien que pour moi, parce que ma vie est belle.

Quoi? Qu'est ce que tu dis? Un échec... ? n'importe quoi. Alors d'après toi quand on ne réussi pas matériellement c'est un échec? tu appelles "échec" le fait d'avoir tout donné toute une année et de finir sur la liste complémentaire de PAES? tu appelles "échec" le fait de t'être levé tout les jours pendant un an très tôt, d'avoir tout donné, d'avoir travaillé au maximum de tes capacités pour réussir, de t'être privé de ta famille et de tes amis le week-end, d'être allé à Falala tout les samedis de l'ouverture à la fermeture, d'être allée à la BU du matin au soir, et tout le temps en cours.. échec? Tu appelles échec d'avoir donner le meilleur de toi même? Le véritable échec aurait été d'être la dernière de ta promotion élise. Le véritable échec aurait été de fuir ton concours, le véritable échec aurait été d'abandonner et non de continuer même trop loin, comme je l'ai fais. Tu as réussi. C'est une réussite, malgré toute cette pression tu as tenu bon, tu t'es levé le matin, chaque matin pour accomplir tes taches et tu es allée au concours, sur les rotules, mais tout de même. j'y suis allée. j'ai eu des bonnes notes, en étant sur les rotules alors imaginer un peu si j'avais reussi à être en forme. Le deuxième semestre l'année prochaine va être top. Au premier semestre, en révisant la moitié de du programme je suis arrivée 500. en révisant tout j'aurais pu être tellement mieux classée..... :) et je serais passée. Pharmacie, je serais passée même comme ça. Alors n'appellons pas échec ce qui n'en est pas un. 

Enfin bref. c'est fini maintenant j'enterre la hache de la torture. Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu, avec brio, même en étant au plus bas de ma condition physique. Je suis quelqu'un de très determinée et de très douée sinon je n'en serais pas arivée là, demander à 10 gars si ils auraient continuer, et s'ils seraient restés jusqu'au bout. Sans lâcher. 

Je me détache de toute pression extérieure. Les autres? on s'en fou. Pourquoi? parce que ma vie à moi, elle est 1000 fois plus belle que celle des autres. Parce que c 'est la mienne. J'ai en aucun cas envie de la négliger pour les autres. 

Il ne faut pas confondre une chose qui n'a pas aussi bien fonctionner, d'un échec

J'avais mal défini l'echec. 

<-> Et la personne.

Ne jugeons pas une personne à partir des potentielles erreurs qu'elles auraient pu faire. 

Est-ce que si un médecin fait une erreur c'est parce qu'il est forcément mauvais? non.

Est-ce que si un élève rate un examen, cela est-il forcément parce qu'il est nul? non. 

C'est en fonction de ce que l'on vit. J'ai mal organisé ma vie en p1. et je sais, grâce à tout ça que je peux le faire, et beaucop mieux, que mes erreurs me sont essentielles pour ma vie future, car je ne les referais jamais.

Ma p1 est une réussite. Dans tout son ensemble. Je le réalise.

je vais bien

Je n'ai pas écris depuis des lustres, je ne sais pas si c'est parce que j'allais bien ou si je n'avais pas le temps. Peut-être les deux, je n'avais plus grand chose à dire. Et a qui? au fond, nous sommes tous seuls. Avec nos petits problèmes, et notre cerveau qui nous désobéit plus qu'il ne nous soutient. J ene suis déjà demandée si j'étais normale ou complétement félée. Je ne sais pas qui croire, et je ne sais pas si je me crois moi-même. On pense que la vie est belle et puis elle nous pose des problèmes, un jour, qu'on ne peut pas résoudre. Alors on souffre cérébralement, on retourne les questions, on part dans des justifications un peu trop compliquées et on s'épuise. On ne devrait pas poser autant d'étiquette sur les choses, et on devrait faire preuve d'une plus grand plasticité sur nos acquis. J'ai souffert beaucoup cette année, mais sans avoir le temps de m'attarder dans des explications trop longues. Je travaillais et je dormais. Pas de place pour ces choses là. Si j'avais réussi coùme je l'avais prévu peut-être que je me sentirais mieux, peut être que je n'aurais pas un cerveau qui se torture avec des questions tout le temps. Mais je pense que j'ai réussi. Quand on voit la question d'une autre façon. Oui, j'ai réussi, j'ai réussi dans la mesure où ce que j'ai véçu m'a apporté beaucoup de choses, je sais poser mes limites, physiques et mentales. Je sais ce qu'il ne faut pas et plus faire, comparer à pleins d'autres. Je sais que cela ne vient que de moi, ma réussite et mon bonheur. Si je suis ce que je suis maintenant c'est aprce que mon parcours ne fut pas une ligne droite et remplis de succès mais un ligne brisée par beaucoup de problèmes. Faire des erreurs dans la vie permet de ne plus les refaire. je peux dire que j'ai fais cette erreur au bon moment. Elle m'a appris que je pouvais le faire. Alors je vais le faire - en évitant de refaire ce qui n'allait pas - j'ai beaucoup appris. Ce qui appartient aux autres, appartient aux autres. Ce qui m'appartient est maitre de moi. Je choisi la vie que je veux avoir et ce n'est rien d'autre que moi qui le vit. Je n'ai pas le droit ni l'envie d'abandonner ma vie aux autres et de laisser les autres empieter sur moi. ce que disent les autres, leurs appartient. Je suis bien dans mes baskets, pourquoi est ce que je n'y arriverais pas? je suis plus forte qu'hier

UNE PAGE (presque) BLANCHE.

Je ne sais plus, j'ai tout perdu, de toute façon. A force de m'accrocher à des souvenirs un peu trop fragiles me voilà au fond du gouffre. Je savais bien qu'au fond de moi la chute était amorcée... mais au fond... c'est peut-être mon destin. De t'avoir aimé comme on aime la vie, et de te perdre, comme la chute annonce la mort. La mort d'une histoire beaucoup trop belle pour être à moi. L'histoire de deux êtres qui s'aiment malgré tout, malgré leurs difficultés. A croire que l'homme est un animal lâche, et qu'il ne tente rien. Peu feront acte de bravoure, moi j'en étais capable... pas toi. C'est ça la réalité. Imaginer un avenir et y mettre toute son énergie. Pour rien.

Toi et moi c'est pas pour rien. Toi et moi, même s'il n'y a pas de demain, il y eu quelque chose qui devrait avoir le mérite d'être entreprit... et pourtant la vie s'y refuse. Je t'aime vraiment. Malgré toi, malgré moi et malgré ce monde qui s'écroule. Je ne suis pas grand chose, et soyons clair, tu n'es pas grand chose non plus, mais la vraie question est... sommes nous quelque chose ensemble? . J'ai de grandes raisons de croire que oui.