Split up...
Parce que ça fait tellement mal. De ne plus jamais revoir tes yeux, tes joues, te voir de près, regretter les mots, les jeux. Et maintenant te voir de si loin sans pouvoir t'approcher. Supplicement difficile. Ca fait tellement mal, de te savoir heureux, d'être heureux pour toi. De te voir sourire, vivre. Quant à moi, moi qui observe les changements, les fins de toutes part... J'attend l'innatendable. J'attend que tout bascule, que tu reviennes aussi. J'attend ce qui ne reviendra pas ; le carosse est parti ; l'avion à décollé ; le vent l'a balayé. Mais je sais l'horreur du temps quand il est sans lendemain, sans un lendemain de plus. Passer à coté de personnes qui ont été une grande part de vous et ne plus les regarder. Je plus jamais les serrer dans vos bras, ne plus jamais leur sourire ; jamais... Jamais...
Samedi c'est solo dans la nature jusqu'au coucher de soleil.