On frappe à la porte...

C'est pourquoi j'écris. Pourquoi je lutte, chaque seconde chaque minute, chaque heure, chaque jour. J'en ai décider, ce sera ainsi. Ces airs finissent par guider mes pas, peu à peu, chacun lettre de mon prénom, de mon nom, chaque mot qui sort de ma bouche. Je n'es pas de but, si ce n'est d'être ce que je rêve. Je suis une fille sous cloche, une fille sous une bulle. Comme une rose qui grandit, qui pousse, qui murît. Je veux juste éclore au bon moment, j'espère que tu le comprends. Tu presses les choses, je constate sans sous entendre qu'ils n'y a pas les envies, les idées et les images. J'aimerais et j'aimerais. On dit qu'un moment n'arrive jamais deux fois, que les souvenirs sont uniques, qu'ils s'enpillent les uns sur les autres pour former une belle pille qui finira par être recouverte de poussière. Si on prend soin de nos souvenirs et qu'on les rangent, ils seront toujours là. Il suffit juste de bien les regarder, de bien les voir et surtout de ne jamais les juger. C'est notre vie, notre parcours. Même s'il est douloureux, qu'il nous laisse des souvenirs certes bons mais incomplets et qu'on en reveux sans en avoir. Et qu'on regrette de ne pas être allez jusque ce qu'il fallait. On ne doit pas se plaindre et avancer. On est tous confronter à nos souvenirs deux fois. Au moment passé et au moment futur. J'espère juste que les souvenirs, tu ne les oubliera pas. Que tu les gardera comme uniques, beaux et neufs. Des souvenirs ré-inventés par les uns, commentés par les autres. Tout autant qu'ils ne savent rien ; rien du tout. Je n'aurais jamais de réponse à ma question. Je ne saurais jamais ce qu'il y'a dans cette tête. Je me suis battue pour me dire et me convaincre que je n'étais pas un objet. Pour finir par supposer, que j'en suis bien un. A tout ce qui me trotte trop souvent dans la tête, à mon passé, à mon present. A notre futur?

Je pourrais écrire  des lignes et des lignes pour ça...