Baby, you crying ...
Si tout était aussi simple, les mots s'egriffent, les mots s'enfillent comme des perles, donnent du sens aux phrases, à des morceaux de textes. Des mots qui blessent, des mots qui déchirent. Et puis le pire c'est d'y penser tout le temps, de perdre et d'écorcher le temps à des pensées si futiles, à des souvenirs si vagues et inutiles. Si seulement, les lettres ne pouvait pas détruite autant qu'elles réparent. Si elles étaient toutes aussi douces que les autres et pour tout le monde. Aussi vite oubliée, aussi vite remplacée. Ce monde n'est pas fait pour moi, fourbe et injuste. Trop de jugements, trop de paquets de lettres qu'on encaissent pendant que d'autres en accueillent des merveilleux, des désirables. Vivre dans la douleur, on ne né pas fort, on le devient. D'aujourd'hui à demain, je serais l'indifference. C'est si difficile de vivre dans un monde où l'épanouissement et le plaisir personnel est un privilège. Les désirs dirigés par l'argent, par le temps et par les autres. Si seulement nous étions seuls, si le mal n'existait pas. Si nos neurones n'encraient pas tout les moments de nos vies. Si seulement nous n'éprouvions pas de sentiments, aucun amour et si les choses matérielles ne nous attiraient pas. Si les risques qu'on prend ne faisait pas naître des souffrances qui nous étouffent petit à petit. Si seulement nous étions perçu à nos vraies valeurs. Si seulement je n'avais pas l'obligation d'écrire pour liberer ma tête de tout ce que j'endure. Serais-je quelqu'un de bien au fond? Une de ses personnes qui veux toujours le bien des gens auxquels elle s'attache? La personne qu'on oublit aussi vite qu'un objet avec lequel on a enfin réussi à jouer?